Prix Micheline Beaudry

Carole Dobrich fait partie des cofondatrices du MAQ. Elle se démarque par son engagement pour tout ce qui touche le Code et elle est même allé à Genève a ses frais pour y représenter le MAQ à un congrès de l’Organisation mondiale de la Santé en 2023. Elle est un lien précieux entre le MAQ et les autres organisations en allaitement du Canada et d’ailleurs.

Laura a rejoint le MAQ – et le comité formation – lors de la rencontre de 2010 qui a vu l’adhésion de toutes premières membres du MAQ. Elle a été la première coordonnatrice du comité formation, et ce, jusqu’en 2015. Laura a animé ce comité et elle a grandement inspiré ses membres en favorisant toujours une approche interdisciplinaire. Elle a également siégé au comité exécutif (2011-2012) et contribué ponctuellement à d’autres projets.

Laura n’a jamais manqué une occasion de faire connaitre le MAQ et l’importance de sa mission. Plus que toute autre, elle mérite le titre d’Ambassadrice du MAQ. Ses connaissances profondes de l’allaitement et sa vision de ce que devrait être une société favorable à l’allaitement ont permis de faire avancer la vision collective du comité formation et d’obtenir l’appui concret d’importantes personnalités influentes. Malgré les multiples et constantes difficultés rencontrées, Laura a toujours su repositionner les situations de façon à dynamiser les efforts et à garder le cap pour assurer avec optimisme une progression constante vers les objectifs poursuivis.

Monik s’est engagée cœur et âme dans le MAQ depuis le tout début. Et même avant le début, puisqu’elle est à l’initiative de la première rencontre en 2009, en présence des représentantes de WABA. Elle n’a pas le titre de cofondatrice du MAQ, mais elle le mériterait plus que tout autre. À l’époque, le contexte faisait qu’elle travaillait dans l’ombre, sans que ce manque de reconnaissance soit un problème pour elle.

Monik est une femme inspirante. Son leadeurship incontesté a été fondamental dans la croissance du MAQ au cours des premières années. Son dévouement à la cause a grandement contribué à la reconnaissance du MAQ par le ministère de la Santé et des Services sociaux et, par le fait même, à l’obtention de plusieurs financements.

L’engagement bénévole d’Isabelle Paquette se dénote notamment à son assiduité et son degré d’implication dans les différents comités du MAQ, ainsi qu’à sa capacité d’apporter des idées nouvelles et de développer une dynamique positive auprès des comités bénévole.

Ta collaboration est unique et inestimable, chère Isabelle. Un énorme merci d’être avec nous au fil du temps et toujours encore, aujourd’hui ! 

Julie est cofondatrice du MAQ. Elle a passé ses premières années de bénévolat à construire des bases solides pour le MAQ, grâce à son engagement sur le comité exécutif provisoire jusqu’à l’assemblée de fondation en 2014, où elle avait le rôle de secrétaire : gardienne de l’historique du MAQ, dont elle fait partie. Dès 2010, elle a rejoint le comité formation, puis en a été coresponsable de 2015 à la dissolution du comité en septembre 2021.

La rigueur de Julie a grandement contribué à la solide réputation du MAQ pour sa rigueur, tant sur le plan scientifique que linguistique. Sa constance et sa persévérance ont également été déterminantes pour faire du comité formation un comité phare du MAQ. En particulier, sa contribution sur le portrait de la formation professionnelle au Québec est inestimable.

Sylvie a été membre du MAQ depuis octobre 2010 (première inscription officielle des membres), et bénévole au sein du comité formation jusqu’en 2018. Elle a également fait partie du comité ponctuel qui a rédigé la version actuelle de la mission du MAQ.

Sylvie a permis une prise de conscience collective sur la nécessité de faire progresser la pensée et sur l’importance des mots. Elle partage son point de vue sans jamais l’imposer. Elle est à l’origine de la déconstruction de certaines expressions largement répandues en périnatalité pour amener à une prise de conscience sur les conséquences souvent inattendues et involontaires de leur usage. Ces expressions enrichissent grandement les propos du MAQ et se répandent petit à petit dans toute la société québécoise, pour un plus grand respect des femmes. Par exemple, l’expression « soutenir les femmes qui allaitent » est de plus en plus utilisée à la place de « soutenir l’allaitement ». En effet, ce sont les femmes — en tant qu’êtres humains non réduits à leur rôle de mère — qui doivent être soutenues, et non l’allaitement qui est un geste qui ne peut être séparé de la femme qui le pose.